Les contes, légendes et douces poésies

Dragonia est une contrée remplie de contes et de poésies merveilleuses et ses habitants sont toujours avides de belles compositions! Laissez-moi, Noble Visiteur, les récits de vos aventures ou vos tendres rîmes afin que tous entendent vos talents de compositeur! Ils seront alors publiés sur cette page à la gloire de votre passage en cette contrée. Je laisse à votre disposition, noble chevalier, mon messager chevauchant le plus rapide destrier de toute la contrée afin qu'il me livre en mains propres vos doux mots ! --Envoyez une composition à Dame Maev --

Glorieuses festivités

De la valeureuse chevalerie et des belles pucelles en détresse, c'était l'époque. Majestés et seigneurs régnaient alors en maître sur leurs grandes terres et leurs serfs qui les cultivaient laborieusement. Sur une grande terre galloise, se dressait un château somptueux brodé de pierres orientales. Son pont-levis était gravé de l'emblème de la noblesse britannique et l'imposante grille était parée de gemmes. Jamais n'eut existé plus belle beauté. Ses tours d'ivoire étaient grandes et robustes et nul intrus ne pouvait pénétrer dans l'enceinte de ce repaire sans le consentement de son noble maître, le chevalier des Terres de l'Ouest.

Il vint un jour où Sir Gwenth dut s'absenter, au désir de son cher et aimé roi. En bon chrétien, il combattit les infidèles pour la gloire de Dieu. Nombreuses furent les années que passa la dame du château sans qu'elle ne reçût nouvelle de son bien-aimé. Puis, un jour, le Seigneur du Nord, vint réclamer la terre de son rival de l'ouest. La dame refusa toute concession et le seigneur envoya son sénéchal ainsi que sa plus grande armée devant les portes de la forteresse Ils l'assiégèrent pendant deux hivers et deux étés. Jamais, ils ne pénétrèrent dans l'enceinte de la magnifique bastille. Un jour où les chênes se dénudaient de leurs joyaux, le maître revint des pays d'Orient. Il trouva sa demeure assaillie par l'ennemi. Outré par l'offense qu'il avait commise envers sa tendre et chère épouse, il convia le sénéchal des Terres du Nord à un duel. Longue et rude fut la bataille. Sir Gwenth, dans un ultime geste, désarçonna son rival d'un coup de lance sur son écu. Le noble chevalier mit pied à terre et menaça le sénéchal de sa longue épée d'argent. Le vaincu le pria de ne point l'occire. Suivant son honneur, le chevalier accéda à sa demande et lui ordonna sa fidélité. Le sénéchal partit vers son maître, pour ne plus jamais revenir.

Lorsque Sir Gwenth entra en son domaine, serfs et noblesses lui firent un accueil triomphant digne d'un roi. Jamais Dieu n'avait eut tel honneur ! Les sujets du maître de la maison étaient tous vêtus de tissus soyeux et brodés de pierres précieuses étincelantes. Dans une salle plus vaste que la lande anglaise, de grandes tables étaient disposées. Elles étaient recouvertes de draps si blancs que même Sir roi Richard n'eut jamais de pareil ! De grandes tapisseries de satin décoraient les murs et des serviteurs allumèrent autant de flambeaux que d'arbres il y avait dans la forêt galloise. Des gelées d'épices et des canards farcis étaient dignement étalés devant tous les invités qui se régalaient de bon vin et de bonne nourriture. Des musiciens jouaient de magnifiques airs en l'honneur de la libération tant attendue. L'ambiance était sans nul doute à la fête et on festoya bien longtemps après que l'aube fut levée.

Depuis lors, les habitants de cette contrée fêtèrent, dès les premiers jours de la saison rouge, la délivrance de leurs riches terres. Sans cesse grandissante fut la renommée du prudhomme qui, partout où il alla son chemin, symbolisa justice et liberté.

Texte composé par Dame Maev

DUELLUM
Tiré de Les Fleurs du Mal de Baudelaire

Deux guerriers ont couru l'un sur l'autre; leurs armes
Ont éclaboussé l'air de lueurs et de sang.
Ces jeux, ces cliquetis du fer sont les vacarmes
D'une jeunesse en proie à l'amour vagissant.

Les glaives sont brisés! comme notre jeunesse,
Ma chère! mais les dents, les ongles acérés,
Vengent bientôt l'épée et la dague traîtresse.
- ô fureur des coeurs mûrs par l'amour ulcérés!

Dans le ravin hanté des chats-pards et des onces
Nos héros, s'étreignant méchamment, ont roulé,
Et leur peau fleurira l'aridité des ronces.

- ce gouffre, c'est l'enfer, de nos amis peuplé!
Roulons-y sans remords, amazone inhumaine,
Afin d'éterniser l'ardeur de notre haine!

Le Chevalier à l'épée

J'ai pour vous le texte intégral de la légende intitulée Le chevalier à l'épée extrait du livre La Légende Arthurienne: Le Graal et la Table Ronde. C'est une aventure consacrée à Gauvain qui donne un bon aperçu des légendes arthuriennes.
Cliquez ici pour la visionner.

Le Chevalier de la Charette

Voici une magnifique oeuvre en prose qui relate les aventures de Lancelot, l'amant secret de Guenièvre. Le texte est long à téléchargé puisqu'il est composé de plus de 7000 vers, mais il en vaut certainement le détour! Cliquez ici pour la visionner.

Poème composé pas Sir Éric Roy
Merci beaucoup pour ton poème !

J’ai rencontré une jolie petite princesse,
elle rayonnait telle la fille du soleil.
Elle m’a tellement envouté que j’aurais tout fait
pour elle ou pour être avec elle.

Je sentis la vie passer à travers elle,
Je sentis une pureté, un rayonnement .

Mais quelquefois sa voix perce et blesse,
qui est la vraie elle?

Elle demeure avec son “chum”
mais qui sait quand un meilleur passera?

Pour l’emmener sur son cheval blanc
mais sous l’armure c’est le néant.

Elle désire la vie de château,
autour d’elle tout doit être beau.

“Eh” bien moi, simple chevalier,
jamais je ne pourrai combler
une fille comme elle.

Je lui souhaite le prince charmant,
quel qu’il soit.

Moi, chevalier obscur,
malgré mes ombres,
ma lumière est pure.

Je sais qu’un jour je rencontrerai
la lumière qui comprend l’obscurité.


Highlander
Voici un poème que Caroline Marie Deschênes a composé sur les braves guerriers highlanders. Merci de votre contribution gente Dame !

De valereux guerriers ont été envoyé,
A Culloden pour y être massacré .
Ces fières highlanders furent dessimé,
Par Cumberland, dit le boucher .
Les gémissements ont remplacé le bruit des épées,
Les survivants furent pourchassé,
Nayant nul endroit où se cacher,
En prison certains sont jetter .
Les anglais voulurent les brisés,
Leur enlever toute fierté,
Mais bravement ils les ont défier .
Dans leurs regards farouche et déterminer,
On pouvait y lire que jamais ils ne seraient dompté .
Sur le bûcher certains sont monté,
Jamais ils ne montrèrent leur peur,
Ils étaient de fièrent highlanders,
Des guerriers au courage exemplaire,
Et a la volonté de fer !

Le Chevalier

Voici un magnifique poème de Dame Caroline a rédigé sur Sir Lancelot du Lac, le preux chevalier à la charette ! Je la remercie personnellement de sa belle contribution aux contes de Dragonia que nos bardes se plairont de chanter !
Le seul amour de sa vie,
Avait déjà un mari,
Et cet amour interdit,
A rendu tragique sa vie;

De tous les chevaliers,
Nul plus que lui n'avait mérité,
Toutes les aventures qui lui sont arrivées,
Et qui l'on honoré;

Il fesait maintes prouesses,
Et agissait toujours avec noblesse,
Ce chevalier là,
Personne ne l'oublia;

La légende fit de lui un héros,
Ce chevalier qui avait pour nom Lancelot,
Car de tous les chevaliers,
C'est lui qui fût le plus aimé...

Le Dragon Noir (extrait)
Voici une autre contribution de la part de Dame Caroline qui m'a envoyé ce joli extrait du livre «Le Dragon Noir» de Penelope Williamson !

Une belle dame demeurait dans un lac,
Verts étaient ses yeux...

Je te posséderai, ma belle,
Et nuit et jour serai ton maître .
Mais mon amour garderai pour ce qui m'importe :
Dieu, mon seigneur et mon fidèle destrier .

Jamais tu ne me posséderas,
Cruel Seigneur .
Mais je jure sur mon âme
Qu'un jour tu viendras à moi
Nu et à genoux, ton coeur dans tes mains,
Pour me donner enfin
Ton véritable amour .

Comme il ne pouvait acheter l'amour de sa dame,
Le chevalier décida de le gagner
Grâce à son épée et à ses hauts faits .
Le coeur en peine, il s'embarqua dans une quête
Qui dura maintes et maintes années...

"Et qu'as-tu à m'offrir, maintenant,
Pauvre chevalier,
Dépouillé de ta fortune comme de ton orgueil?"

Le chevalier jadis si fort
Tomba à genoux
Sur les rives vertes du lac, et il supplia doucement :
"Je n'ai rien à te donner, ma belle,
Rien que mon coeur."

Alors elle emmena le chevalier dans sa demeure
Car c'était son coeur seul qu'elle voulait .
Et tout deux connurent
L'amour, la joie et la vie éternelle...

Triste princesse
Voici un conte du barde Christophe que Dame Caroline a eu la gentillesse de nous faire part.

Tristesse, mais quel délicatesse
Pour cette douce princesse
Qui ne connait que la tristesse
Sans prince, sans fait, sans geste ;

Ce promenant dans son château
Loin là-bas, là-haut
Voulant évacuer tous son chagrin
Qui ne connait aucune fin ;

Connaîtra-t-elle un jour le bonheur
Dans sa grande demeure
La tristesse sera-t-elle effacer
Par son prince le doux-aimé .

Le preux chevalier
Voici un poème de Dame Lison.

Un jour j'ai rêvé,
J'ai rêvé du preux chevalier,
Il est venu, m'a prit,
Et nous sommes repartit .

Il m'a fait connaître l'amour,
Sans prendre aucun détour,
Je l'ai aimé à la minute où je l'ai vu,
Je le suivrais partout,
Sans même savoir où il m'enmène,
Je lui fait confiance, parce que je l'aime .

Une rose en hiver
Ce poème qui nous a été apporté par Dame Caroline est extrait du livre "Une rose en hiver" de Kathleen E. Woodiwiss

Une fleur écarlate dans dans la neige hivernal,
Née hors la saison, comme un chagrin de femme,
Éclosse en ces temps rude où souffle un vent glacial .

Elle fut découverte en un lieu protégé,
Incarnat merveilleux non encore effleuré,
Rouge comme le sang venant du coeur blessé,

De celle qui attend et pleure son chevalier
A l'armure d'argent, parti suivre sa quête,
Et qui s'attarde au loin à jouter, guerroyer .

Ne crains rien, douce enfant, arrête tes sanglots,
Une rose de l'hiver est née pour t'annoncer
Que l'amour de jadis va renaître bientôt .

Le druide déboussellé
Voici une composition qui nous a été apporté par Dame Julie

C'est sur son chemain
qu'il m'avait raconté
En essuyant ses larmes de ses mains
Sa triste histoire d'amour inachevé

Il marchait dans une forêt éloignée
Lorsqu'une jeune fille demandait à aider
Elle était belle à en crever
Le jeune druide voullait prendre sa main glacé

Mais élas c'est en dragon qu'elle s'est changée
alors elle lui dit "Désolé pauvre druide déboussellé
mais l'amour que j'ai dans mon coeur est déstiné ailleurs"
Il me regarda et fondit en pleurs

J'ai tenté de le resonné
Mais sans sucet j'y suis arriver
Tant d'heure qu'il a pleuré
Sans comprendre que son amour m'était déstiné


Le Grimoire de Dame Maev
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